Architectes : Emiel Volckaert, Eva Verhelle.
KUBIK est un métissage des mots néerlandais et français « KUBIEK» et «CUBIQUE» et s’apparente à un objet architectural abstrait en bois qui émerge dans l'environnement poétique des Sources du Lac d’Annecy et de ses paysages montagneux. Le design de KUBIK est dérivé d'une forme cubique, tout en ayant été transformé comme son étymologie en un élément abstrait à deux moitiés égales : une partie massive et une partie vide, représentant respectivement un espace de cabane couvert et un espace d’entrée ouvert.
Architectes : Matilde Julia Saravia, Vincent Tissot, Olivier Tissot.
La fusion entre la nature et la cabane en bois est indivisible. Elle se veut éternelle en embrassant un arbre existant, en même temps que ses lignes verticales disparaissent vers le ciel. Nous nous asseyons délicatement sur un plan surélevé du sol et naturellement notre corps cherche le plan allongé, le relâchement est absolu. Un lieu magique qui invite les divers visiteurs à s’approprier cet espace dans une infinité de configurations, tout en restant en symbiose avec la Nature environnante.
Architectes : Juliette Martin-Guiheneul, Fiona Sztahl, Thekla Poter.
Contrastant avec le paysage montagneux et les plaines cultivées du Marais du Giez, la cabane s'annonce de loin. A l'image des cabanes d'enfants, elle se rêve en château fort, perchoir ou tour d'observation. Elle protège successivement cyclistes, randonneurs, nomades de passage, invite à se poser et prendre de la hauteur pour contempler le paysage du marais.
Architectes : Jean Christophe Petillault, Katharina Haas.
Avec son toit à double-pente et ses proportions chaleureuses, l’observatoire rappelle l’image vernaculaire d’une cabane ou d’un chalet traditionnel, réinventée par des lignes graphiques et sans compromis. Parfaitement intégré dans son environnement sylvestre, il permet non seulement d’observer la faune et la flore, mais y participe grâce à sa conception poreuse, perméable aux plantes et aux espèces qui souhaiteraient y trouver refuge.
Architectes : Jonathan Pailleux, Victor Vazquez, Xavier Loureiro, Iker Pastor Irusta.
Ne pas s’imposer, générer une certaine perméabilité et travailler la question de la transparence ont été des points majeurs dans la construction de cette cabane.
Le tissage de la corde autour de la structure bois vient fabriquer une spatialité et une trame poreuse au paysage présent, générant des épaisseurs et des sensations de profondeurs différentes à mesure que l’on se déplace, à mesure que l’on s’en approche, à mesure que l’on contemple depuis son centre l’environnement extérieur.